Sex, Sun And Surf [03]
« Regarde-moi, chérie
»
Erika ouvre ses grands yeux troublés vers moi. Parfois, elle les referme pour profiter pleinement de mes doigts enfouis en elle.
Son corps est brûlant. Nos carcasses glissent lune contre lautre, lubrifiées par nos transpirations.
Mes doigts la pénètrent. Elle est trempée, détrempée. Sa chatte est visqueuse de plaisir. Rik gémit encore. Ses cris deviennent bestiaux. Elle nest que plaisir. Et je suis une tendre spectatrice.
Les yeux dans les yeux. Je vois son plaisir grandissant.
Dans un grand cri, elle rejette la tête en arrière. Quelle est belle.
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On a fini par rentrer. Complètement vidées, épuisées, harassées par la journée : lintense footing du matin, la longue séance de surf de laprès-midi et les violents orgasmes du soir. Quelle journée magnifique ! Mais la nuit fut sage
Enfin presque.
Le sommeil ma saisi sans prévenir : jai sombré comme une masse à peine ma douche prise. Dans la nuit, je suis réveillée par un frôlement bien agréable.
Une main remonte doucement mon flanc pour sabandonner contre mon sein droit. Erika le masse, joue avec le téton qui se tend. Sa bouche se pose dessus. Elle lèche, laspire, le suce.
Je ne peux plus faire semblant de dormir : un léger gémissement passe mes lèvres, mon corps se cambre vers ma démoniaque amante. Mon bras senroule contre la nuque de ma partenaire pour la maintenir contre ma poitrine gonflée.
Je sens Erika lever les yeux vers moi, avec une voix de petite fille prise en faute, elle murmure :
« Désolée Kimmy, javais trop envie
»
Je souris, maintiens sa tête contre moi, et annonce :
« Jaime bien ce genre de réveil
Le problème, cest quil suscite des envies sulfureuses
»
Nous rions toutes les deux, et la main de ma belle descend vers mon sexe et balaye les grandes lèvres de la paume :
« Ça fait chaud par là ? demande-t-elle, espiègle.
- Si tu savais, je brûle de partout
Il va falloir maider !
- Avec plaisir ! Jai fait ma formation de pompier ! répond-elle joyeusement.
- Pompier, peut-être
Mais pyromane, jen suis sûre ! laché-je en riant en sentant les doigts de ma comparse sattarder contre mon clitoris. »
Erika décolle sa joue de ma poitrine pour venir plaquer un baiser contre mes lèvres. Avant que lembrassade ne devienne hors de contrôle, Rik allume la lampe de chevet. Devant mon regard interrogateur, elle répond :
« Jai envie de te voir jouir, chérie
»
Jaime lidée. Et jatt ma belle pour lembrasser.
Mes lèvres chaudes emprisonnent les siennes. Sa langue roule sur la mienne. Je mamuse à donner des petits coups de langues réguliers contre le dessous de la sienne. Cela la fait gémir, frémir, tressaillir.
A son tour, elle se saisit de ma langue pour la sucer, la mordiller. Et je grogne autant quelle.
Impossible de nous détacher. Je ne sais pas qui de nous retient plus lautre contre elle
Mais mes bras sont fermement arrimés à sa nuque, et les siens sont solidement attachés à mes hanches.
On est tellement bien. Même sans sexe, juste avec une tendresse infinie.
Jai envie de la dévorer. Nos lèvres qui se pressent encore, toujours. Et nos langues qui jouent un ballet si intense, si fougueux
Nos mains exercent à peine quelques caresses. Nos corps nus et nos bouches suffisent à notre satisfaction.
Le calme avant la tempête.
Et puis, subitement, la frénésie prend le dessus. Nos corps se frottent, sheurtent. Nos curs cognent presque douloureusement dans la poitrine.
Jai besoin delle, de ses doigts, de ses mains, de sa langue. Jai besoin de jouir. Dévacuer cette tension.
Entièrement dirigé par le désir. Par la soif de plaisir. Par la nécessité de la faire jouir.
Je plaque Erika plus fermement contre le matelas. Ma langue baise sa bouche. Puis je mécarte.
Mes mains palpent ses seins. Je madoucie à leur contact. Ma folie laisse place à un tendre répit. Je masse la poitrine, pince le téton, le frictionne.
Ma main droite part à la recherche du trésor de ma comparse. Je presse doucement les grandes lèvres déjà ouvertes. Je recueille un peu de ses sucs glissants pour lubrifier le gros clitoris dErika.
Mes mouvements circulaires sont légers, doux, superficiels. Jai décalotté le bouton et cest sur la zone la plus sensible du corps de ma belle que la pulpe de mon index se pose.
Mes caresses durent longtemps. Ces gentils cercles à droite, des tendres ronds à gauche, une longue pression.
Guidée par les sons de gorge dErika, je module mon doigté. Je ne veux pas quelle jouisse trop vite. Je veux que son orgasme monte lentement par palier. Et que sa jouissance soit extraordinaire.
Mon amante se cambre de plus en plus. Ses jambes contractées tremblent. Son ventre se lance à la poursuite de mes doigts, dès que mes mouvements ralentissent.
Elle gémit. Elle grogne.
Mais je continue mon délicieux et agaçant travail de sape.
Je songe : « Si tu savais, chérie, comme je veux temmener au septième ciel. Si tu savais comme je veux que ton orgasme soit le plus intense que tu aies connu. Si tu savais, ma belle
Si tu savais. »
Et Erika tremble de plus en plus. Ses cris se rapprochent et deviennent de moins en moins articulés.
Quand je sens que la douceur napporte plus rien. Que ma belle a besoin de brusquerie pour accéder à la suite de son orgasme. Mes trois doigts posés à plat sur son clito turgescent le frotte vigoureusement.
Une longue plainte, un long cri, qui na pu être retenu, passe les lèvres de ma belle. Je masse toujours, les cris se rapprochent. Son sexe shumidifie encore.
Je sais son clito douloureux du frottement.
Jaccélère mes actions à la recherche du point G dErika. Je le découvre. Le palpe, le masse.
Ma belle se tend encore.
Je me colle à elle. Passe ma main sous sa nuque. Je veux la voir jouir.
« Regarde-moi, chérie
»
Erika ouvre ses grands yeux troublés vers moi. Parfois, elle les referme pour profiter pleinement de mes doigts enfouis en elle.
Son corps est brûlant. Nos carcasses glissent lune contre lautre, lubrifiées par nos transpirations.
Mes doigts la pénètrent. Elle est trempée, détrempée. Sa chatte est visqueuse de plaisir. Rik gémit encore. Ses cris deviennent bestiaux. Elle nest que plaisir. Et je suis une tendre spectatrice.
Les yeux dans les yeux. Je vois son plaisir grandissant.
Dans un grand cri, elle rejette la tête en arrière. Quelle est belle.
Sa cyprine gicle sur le lit, sur mes doigts. Dans des soubresauts de plaisir, elle jouit longuement dans mes bras. Avant de sombrer dans linconscience.
Je garde ma belle longtemps blottie dans mes bras, fière de lorgasme que je lui aie procuré. Je la berce lentement, sa tête au creux de mon épaule.
Mon bas ventre me lance, tellement le besoin de jouir est présent. Mais jattends mon amante.
La chambre sent le sexe, le plaisir et la luxure.
Je pose mes lèvres sur celle dErika, quand celle-ci ouvre les yeux :
« Putain Kimmy, cétait extraordinaire
ça ne métait jamais arrivé ! Cest magique ! »
Je souris tendrement, en attrapant la main de ma belle pour la plaquer contre mon sexe dégoulinant.
« Fais moi jouir, Rik, fais moi jouir
»
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La suite de la nuit ? A suivre...
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